samedi 23 juillet 2011

Le f-commerce peut il faire décoller le e-commerce en Tunisie

Après le e-commerce, le m-commerce, voici qu'on entend de plus en plus parler du f-commerce. Plus connu aussi sous le nom de social shopping permet d'acheter directement à travers la page fan facebook. Ainsi l'achat une fois effectué, il pourra être :

- Partagé sur le profil
- Commenté par les amis
- Encourager les autres a faire de même.

Plusieurs applications sont disponibles,
- www.payvment.com
- www.boosket.com
- www.lengow.com

Plusieurs agences ont développé leurs propores applications (Nurun lance Transform[R], une application de commerce sur Facebook)

Des exemples concrets:

Plusieurs entreprises ont déjà commencé à utiliser ce nouveau mode de commerce

- La boutique de "LadyGaga" qui enregistre plus de 40 millions de Likes

- Archiduchesse: vente de chaussure


- KIABI dont la page fan affiche plus de 370 000 fan

- SKATEBORDS, vente en ligne de skatebords avec 20 000 fan

Le f- commerce the "next big thing":
Selon une étude de CCM-Benchmark, 98% de s e-commerçants devraient être pérsents sur Facebook d'ici à la fin de l'année, mais très peu de faire de faire des transactions directement sur facebook ( soure).
Mais selon plusieurs analystes, le f-commerce deviendra the next big thing, comme cela est montré dans l'infographie suivante avec un marché globale de 30 milliards de $ en 2015:


Et la Tunisie:


Jusqu’à maintenant, le e-commerce n'a pas réellement décollé en Tunisie et demeure largement en dessous des espérances. Le f-commerce pourra faire décoller les échanges sur internet et cela pour plusieurs raisons :

- Il existe plus de 2.6 millions de tunisiens abonné a facebook, soit presque 25 % de population

- Facebook, regroupe plus de 750 millions d'abonnées

- Facebook est devenu un véritable phénomène de société en Tunisie, il a fortement contribué à la révolution et aux mouvements de protestations sociales.

- La plus part des tunisiens, c'est des facebook addict


Malgré cela, il existe encore d'autres problèmes inhérents au e-commerce lui même comme le manque de confiance ou le manque de coordination avec les banques qui refusent encore de s'y mettre.
Espérons qu'ils vont réagir vite, sinon on manquera une occasion de réaliser de la valeur ajouté à l-économie et des opportunités de créer de nouveaux emplois.

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